Le Fantôme de l’Opéra
Christine: Le nuit, dans mon sommeil, Se glisse un homme. Sa voix éclate en moi, Sa voix me somme. Serait-ce un rêve encore, Mais cette fois, Je sais que le Fantôme de l’Opéra, Est là, en moi.
Fantôme: Ce soir, la scène est mise, Nos chants se mêlent. Ma main, mes mots, ma voix, Je t’en sorcelle. Et si ton doux regard. Se perd parfais, Tu sais que le Fantôme de l’Opéra, Est là, en toi.
Christine: Ceux qui vous voient en face Sont pris d’effroi . Je suis un masque pour vous...
Fantôme: ...Je suis tu voix.
Christine/Fantôme: Votre esprit et mon cant, Mon esprit et ton chant, S’envolent ou ploient
Christine/Fantôme: Je suis que le Fantôme de l’Opéra, Ta suis que le Fantôme de l’Opéra,
Christine/Fantôme: Est là, en moi. Est là, en toi.
Christine: C’est lui, c’est le le Fantôme de l’Opéra...
Fantôme: Chante mon Ange de musique! Chante, mon Ange. Chante pour moi! Chante mon Ange. Chante pour moi!
La Musique de la Nuit
Fantôme: Je vous ai apporté au siège du trône de la musique douce... avec ce royaume où tous doivent rendre hommage dans la musique... musique...
Vous êtes venu ici, pour un but, et un seul. . . Depuis le temps je vous ai entendu la première fois chanter j'ai eu besoin de vous avec moi, pour me servir, pour chanter, pour ma musique. . . ma musique. . .
La nuit affile, intensifie chaque sensation. . . L'obscurité remue et réveille l'imagination. . . Silencieusement les sens abandonnent leurs défenses. . .
Lentement, doucement la nuit unfurls son splendour. . . Saisissez-la, sentez-la - timide et tendre. . . Tournez votre visage parti de la lumière crue du jour, tournez vos pensées parties de la lumière froide et insensible - et écoutez la musique de la nuit. . .
Fermez vos yeux et rendez à vos rêves plus foncés ! Purgez vos pensées de la vie où vous avez sue avant ! Fermez vos yeux, laissez votre début d'esprit monter ! Et vous vivrez comme vous n'avez avant jamais vécu. . .
Doucement, habilement, la musique vous entourera. . . Sentez-la, entendez-la, en se fermant dedans autour de vous. . . Ouvrez votre esprit, laissez vos imaginations dérouler, dans cette obscurité que vous savez que vous ne pouvez pas combattre - l'obscurité de la musique de la nuit. . .
Laissez votre début d'esprit un voyage par un nouveau monde étrange ! Laissez toutes les pensées du monde que vous avez connu avant ! Laissez votre prise d'âme vous où vous désirez ardemment pour être ! Seulement alors pouvez vous appartenir à moi. . .
Flottant, tombant, intoxication douce ! Touchez-moi, faites- confiance moi saveur chaque sensation ! Laissez le rêve commencer, laissez votre côté en noir donner dedans à la puissance de la musique que j'écris - la puissance de la musique de la nuit. . .
Vous seul bidon faites mon vol de prise de chanson - m'aider à faire la musique de la nuit. . .
Le Point de Non-retour
Christine: Ne font vibrer son âme qu’amour et joie Ne priment dans son cœur que de beaux rêves…
Fantôme: Passarino – Laisse-moi Car mon piège est prêt et n’attend que sa proie… Tu es ici, Là où toute folie des sens, là où bien de brebis sur l’autel s’offrent sans lutte, sans lutte… Tu m’as suivi pour m’offrir d’impossibles danses. En toi-même déjà tu succombes à moi, sans résister tu te livres et succombes à moi… Ta volonté faiblit. Ton corps se tend. Tu te donnes, Te donnes…
Passe le point de non-retour, nos mains se cherchent, le grand moment arrive : enfin l’étreinte ! Passe les liens du cœur, du sang. Pourquoi te battre ? Abandonne aux excès l’ultime enceinte…
Vers quel enfer affluerons-nous ? Parviendrons-nous jusqu’à sa porte ? Quel grand brasier est là pour nous seuls… ?
Passe le point de non-retour. Plus rien à craindre, les sens triomphent et le cœur reste sourd. Au bord du point de non-retour…
Christine: Nous avons dit, tous les mots respectueux des lois. Tous ses mots bien appris chassons-les dans la nuit noire, nuit noire… Je suis ici, Sans savoir tout à fait pourquoi. En moi-même, déjà j’imagine tes mains sur ma peau. Je cèderais sans lutte. Je n’ai plus peur du tout, mon corps se tend, je me donne, me donne… Passe le point de non-retour. Non, n’hésitons plus. Qu’éclate enfin ce drame de la passion.
Passe l’idée du bien, du mal. Il faut que l’heure sonne. Va-t-on jouer dès ce soir à l’unisson ? Quand donc la fleur s’offrira-t-elle ? Le sang va-t-il bientôt rugir ? Déjà je sens les flammes sur moi…
Ensemble: Passe le point de non-retour… Plus rien à craindre. L’enfer battra pour nous de ses tambours ! Après le point de non-retour…
Fantôme: Sache longtemps me dire combien tu m’aime, prends ma main, fuyons la solitude… Si tu m’aimes alors la vie m’enchante… Être aimé de toi et un cadeau – Christine, c’est tout ce qu’il me… [faut] |